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Notes sur le tag : peter greenaway

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Dernières notes

Les limites du jeu

C'est en réentendant par hasard la désastreuse version de l' adagietto de la 5e de Mahler choisie par Visconti que j'ai repensé à Michael Nyman et aux emprunts faits à Henry Purcell. J'avais écrit dans un billet , il y a quelques mois, que je trouvais fort plaisant ce jeu. Il ne s'agit pas ici de revenir sur ce jugement mais d'en préciser les limites. Michael Nyman s'amuse....

Publié le 23/08/2016 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

La carte postale du jour ...

"Les souvenirs du bonheur passé sont les rides de l’âme." - Xavier de Maistre, Expédition nocturne autour de ma chambre Je me souviens qu'au mitan des années 90, après avoir été pendant près de six ans un fan de Peter Greenaway (rencontré finalement lors de son passage à Genève en 1994, pendant son exposition itinérante Stairs ), j'ai découvert les films de l'Islandais...

Publié le 02/06/2016 dans Manoeuvres... par la bouche plein de terre | Lire la suite...

LA TEMPÊTE - Indulgence et liberté

  Mosaïque "Prospero's books" , de Peter Greenaway (1991), et dont j'attends la sortie en Blu-ray... un jour.     Il y a dans La tempête quelque chose qui me plaît infiniment et qui en même temps pose un problème théologique insurmontable : à la fin, Prospéro pardonne à tous ses ennemis, y compris aux non-repentis (Antonio et Sébastien) et à Caliban qui avait...

Publié le 26/02/2016 dans Pierre Cormary par Pierre CORMARY | Lire la suite...

Michael Nyman, illusion baroque

Avant de parler de Michael Nyman et d'écouter une de ses compositions, un mot de cinéma. Ce musicien est en effet indissociable des œuvres de Peter Greenaway, comme Hermann l'est de Hitchcock ou Badalamenti de Lynch. Il en épouse l'excentricité et le formalisme, avec un bonheur inégal (comme d'ailleurs l'œuvre cinématographique de Greenaway où quelques beautés cotoient des délires...

Publié le 26/09/2015 dans off-shore par nauher | Lire la suite...

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